jeudi, 15 juin 2023 14:03

6. La célébration de l’Eucharistie dans les différentes cultures Cas de la République Démocratique du Congo

Noel Mayamba, SSS. 
Kinshasa, République Démocratique Congo, 4/9/2022.

 

Introduction

L’évènement ecclésial qui a marqué l’histoire du christianisme en Afrique au 20e siècle, est sans doute le Concile Vatican II. Vatican II est le premier Concile de l’histoire de l’Eglise où l’on a noté la participation d’évêques venant de l’Afrique subsaharienne.

L’épiscopat congolais fut l’un des plus représentés des épiscopats africains au Concile avec 40 prélats dont 10 évêques originaires d’Afrique. Mgr Malula, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Léopoldville, membre conciliaire de la commission liturgique fut l’une des plus remarquables figures de l’épiscopat africain pour la réforme liturgique. Chaque épiscopat se devait d’apporter sa contribution aussi modeste que décisive pour l’avenir de l’Eglise en Afrique. Il s’agissait de l’Afrique qui souffrait encore des blessures de la colonisation occidentale.

En effet, l’Afrique de l’époque est assujettie par les puissances occidentales qui imposent leur culture, leur langue et leur religion. La culture du colon est le critère de la civilisation. C’est dans ce contexte que la confusion va exister entre la mission de l’Eglise et le pouvoir colonial. C’est ainsi résulté qu’au moment où les légitimes aspirations à l’indépendance donnèrent lieu à des frictions avec les autorités civiles, les missions apparurent à beaucoup comme liées au gouvernement et faisant bloc avec lui.

C’est dans cette lutte contre l’impérialisme occidental que l’Afrique reçoit l’annonce du deuxième Concile du Vatican. Cette annonce a suscité un enthousiasme tellement très fort que l’Afrique dans son ensemble attend trouver des réponses aux préoccupations inhérentes à leur contexte socio- politique et ecclésial et liturgique.

C’est à l’issu du programme donné au concile Vatican II, dans Sacrosanctum concilium que l’épiscopat congolais de l’époque va chercher un cadre africain et zaïrois de la célébration eucharistique, qui aboutira au projet du rite zaïrois de la messe.

 

1. Le dialogue entre l’épiscopat du Zaïre et le Saint Siège

Les initiatives prises par les évêques pour inculturer la liturgie, offrent « aux congolais une possibilité de recréer leur unité intérieure et de trouver une réponse aux aspirations communautaires si profondément ancrées dans leur cœur »[1]. Il s’agit ici de la prise en considération de la culture africaine et congolaise dans le rite romain introduit en terre africaine. Car la culture constitue ce qui est du spécifique de l’homme[2]. En effet, sans cette connaissance, l’Evangile de Jésus restera comme une information et non un message du salut[3].

Le projet de ce nouveau rite suscite déjà beaucoup d’intérêt et de passion dans l’épiscopat. Il sera même l’objet du dialogue entre les Prélats du Congo lors des visites ad limina.

La visite ad limina apostolorum de 1983 a été l’occasion d’échanger sur les options fondamentales de l’épiscopat congolais, élaborées à la lumière des enseignements du Concile Vatican II. Il s’agit notamment de l’évangélisation en profondeur de l’homme et de l’inculturation. Le ton change de la part des prélats congolais. Ce n’est plus l’adaptation qu’ils demandent mais l’inculturation du message en terre congolaise.

Prenant la parole au nom de ses collègues, le Cardinal Malula, exprime l’une des préoccupations majeures de l'Église au Congo au Pape, en disant: « Au Zaïre nous sommes engagés à la recherche des voies pour une liturgie répondant aux aspirations les plus profondes des Africains, en occurrence le rite zaïrois »[4].

La réponse du Pape Jean Paul II ne tarda pas. Il donna son accord de principe en disant: « Comment, déclare-t-il, une foi vraiment murie ainsi, profonde et convaincue n’arriverait-elle pas, dès lors, à s’exprimer dans un langage, dans une catéchèse, dans une réflexion théologique, dans une prière, dans une liturgie, dans un art, dans des institutions qui correspondent vraiment à l’âme africaine de vos compatriotes? »[5].

En définitive, à la fin de cette visite ad limina l’épiscopat congolais se sentit réconforté dans ses efforts d’évangélisation en profondeur. Ainsi il sera promulgué en 1988 le missel romain pour les diocèses du Zaïre, communément appelé rite zaïrois.

2. Les acquis du Missel romain pour les diocèses du Zaïre (MRDZ)

2.1. La participation active acquis majeur du MRDZ

En effet, le MRDZ, disons-le, ne sera pas une création ex nihilo. Il s’inscrit dans l’unité du rite romain, celui qui a accompagné l’évangélisation du pays et l’établissement de l’Eglise au Congo. Ainsi donc, pour trouver son originalité, il convient d’examiner ses éléments constitutifs à la lumière du rite romain.

C’est dans l’insertion des éléments propres de la culture noire que le MRDZ obtiendra cette participation active. Il s’agit notamment:

2.1.1. De l’expression verbale

Au Congo, il y a 4 langues nationales: Lingala, Kikongo, Thiluba, Swahili; et 2 langues internationales: Français et l’anglais. Pour l’épiscopat congolais le problème est de laisser le génie propre à chaque langue s’exprimer et exprimer ce qu’il a de meilleur dans la liturgie. « Les ordinaires sont convaincus qu’on ne peut arriver à une participation active des fidèles, si au moins ne peuvent être faits directement et exclusivement en langue vivante: toute la liturgie »[6].

Ainsi, le Missel romain pour les diocèses du Zaïre sera publié en lingala comme langue de départ pour toutes les autres langues congolaises. Le rite est célébré pour le moment uniquement en langues locales.

L’expérience du cardinal Malula est très éloquente par rapport à la question de langue liturgique au Congo. Lors d’une des séances de travail pendant les assises du concile, on lui demanda de chanter dans sa langue un des chants liturgiques; quand il ouvrit la bouche, ce fut le Notre Père en lingala qui sortit. Un air de soulagement et surtout d’espérance se lisait sur les visages des participants, comme pour dire: « Voilà un avant-gout de ce à quoi nos efforts tendent ». Mes co-équipiers sentaient dans ce “Notre Père” en lingala, toute mon âme qui vibrait: j’habitais pleinement ce que je chantais[7].

En somme, on retiendra que la langue est l’instrument de communication par excellence, célébrer en langue locale, le nouvel ordo congolais favorise cette participation des fidèles au mystère célébré. Car le latin, langue liturgique pour le rite romain ne peut assurer cette communication entre l’âme africaine et le mystère célébré.

2.1.2. De l’expression musicale: La musique congolaise au service de la sainteté

Le Concile Vatican II a donné les critères qui devaient servir pour la musique proprement liée au culte. En effet, la musique dans la liturgie est pour la glorification de Dieu et la sanctification de l’homme. A cet effet, rien de profane ne doit être intégré, avec une connotation profane dans le texte, les genres et dans les compositions.

Pour promouvoir une musique authentiquement africaine dans la liturgie, l’épiscopat congolais proposa la création des commissions de musique sacrée, qui: « veilleront à conserver à cette inspiration son caractère authentiquement africain, évitant de déformer leur spontanéité par des procédés de composition d’autres cultures […]. L’emploi des instruments de musique africain est encouragé pendant les célébrations au service des chants de l’assemblée »[8].

Beaucoup de chants seront désormais de plus en plus écrits et chantés en langues locales. Ces chants seront rythmés par le tam-tam et d’autres instruments traditionnels.

Ainsi, en peu de temps, partout au Congo le chant en langue nationale a remplacé le chant grégorien. Les évêques demandent que les compositeurs doivent être fidèles aux modes musicaux africains et à la rythmique africaine[9]. D’une part, les chants liturgiques sont souvent des textes inspirés des psaumes ou autres passages de la parole de Dieu[10].

D’autre part, ces chants liturgiques puisent dans le folklore du peuple et même dans le style populaire. La musique dont le rythme provoque la participation corporelle à la prière par le chant et le balancement du corps forme le revêtement sonore de la célébration. Et, les évêques disent que: « L’usage du tam-tam et d’autres instruments de musique traditionnels est prévu pour accompagner les chants »[11].

2.1.3. De l’expression artistique

Les instruments de musique doivent favoriser la piété du peuple. Dès 1966, pour la première fois, l’archevêque de Kinshasa décide d’introduire le tam-tam. C’est un instrument africain par excellence qui rythme les grandes cérémonies joyeuses ou douloureuses. En effet, le Concile de Vatican II a ouvert les portes à l’usage des instruments de musique autres que les orgues. L’archevêque de Kinshasa dit: « On peut donc faire usage de nos instruments traditionnels dans l’exécution des chants liturgiques […]. Ces instruments doivent toujours garder leur rôle, celui de soutenir, d’accompagner les chants, non pas de les ne dominer ni de les écraser. Les tam-tams doivent servir de musique de fond, de façon à permettre aux voix des chanteurs et aux paroles qui expriment la prière d’être entendues »[12].

Parmi les directives qui accompagnaient l’autorisation des instruments africains dans la liturgie, Malula insiste pour que ces instruments destinés au culte divin doivent absolument être soustraits à tout usage profane, et ne jamais trainé par terre pour aller rythmer les jazz où les danses dans les mouvements de jeunes.

2.1.4. De l’expression culturelle: La danse dans la liturgie congolaise: expression de communication

Avec le chant, la danse occupe une place prépondérante en Afrique. Elle est un puissant moyen de communication avec les forces cosmiques et humaines. En effet, la danse en Afrique peut exprimer un sentiment de joie et de fête, ou alors aussi de tristesse et de malheur. Mais en liturgie, « elle devient l’expression de l’enthousiasme né du sentiment de la présence de Dieu et de partager son être »[13]. Pour Mveng la danse établit aussi le contact entre les hommes et leur créateur: « La danse est l’expression sacramentelle de la religion africaine [...]. Elle est un élan mystique, qui essaie de traduire l'impuissance de l’homme à franchir l’abime qui le sépare de celui qui est la Vie en qui il cherche la plénitude »[14].

La danse sera introduite dans la liturgie de la messe. La procession d’entrée, se fait sur un pas de danse; pendant le gloria le prêtre avec les autres ministres exécutent la danse autour de l’autel. Le sens de la danse autour de l’autel, est de participer à la gloire de Dieu. Quand la chorale entonne le chant d’offertoire, des fidèles indiqués pour ce faire prennent les vases sacrés, la burette et les autres dons. Au rythme du chant, ils s’avancent vers l’autel en exécutant des pas de danse. On danse aussi pendant le sanctus et la procession de sortie. Bref, la danse est l’expression d’un contact avec Dieu, à qui on veut exprimer la louange, l’adoration, la tristesse, le repentir et la joie d’être en sa présence.

À cet effet, la célébration liturgique africaine doit être comprise non seulement par les mots, mais aussi par le mouvement du corps, c’est-à-dire dans les gestes et la danse.

La danse en liturgie congolaise s’exécute dignement, sans saccade, sans profusion de mouvements en divers sens. D’ailleurs les évêques prohibaient la tendance consistant à transformer la liturgie de la messe en un concert musical avec des danses profanes.

Dans le missel romain pour les diocèses du Zaïre, les éléments s’appellent et se répondent dans les paroles, dans les actes, dans les mouvements et même dans des rythmes significatifs. Les fidèles sont debout comme dans le rite romain. Tandis qu’ils sont assis pendant les lectures y compris l'Évangile. Ils tiennent les mains levées pendant les oraisons, pendant la doxologie et la prière de notre Père. Et pendant l’acte pénitentiel, ils prennent une attitude de demande de pardon: la tête légèrement baissée et les bras croisés sur la poitrine.

Pensons également à l’homélie qui, recourant à des langages élaborés par les communautés chrétiennes devient un entretien familier qui ne se fait plus de manière unidirectionnelle mais sous forme dialogale et participative. A la fin de l’homélie, le peuple exprime son adhésion par un geste d’acquiescement final de la prédication par des battements des mains. A la présentation des offrandes, c’est toute l’assemblée, debout, les mains levées, qui prononce à l’unisson avec ses représentants les mêmes paroles adressées au célébrant. Dans la prière sur les offrandes prononcée dans sa substance par le célébrant, elle est clôturée à l’unisson avec l’assemblée. Celle-ci participe avec les mains levées, elle chante à l’unisson la partie conclusive. Comme la collecte et la prière sur les offrandes, la prière après la communion, le chant de la préface, même le canon, aucun élément n’échappe à l’expression participée.

Si dans le Missel romain pour le Congo, le dialogue entre le prêtre et l’assemblée est constant, il est particulièrement remarquable au cours de la prière eucharistique. Il ne se réduit pas au dialogue de la préface, mais il traverse toute la prière eucharistique et il culmine dans la doxologie finale. Le besoin de participation est tel qu’instinctivement l’assemblée enchaine sur la conclusion des oraisons, sur la finale de chaque phrase de la préface. Mais l’articulation du dialogue ne se limite pas seulement à ce niveau. Le dialogue marque chacune de partie de la célébration est aussi visible dans les quatre processions rythmées qui constitue l’ossature de la messe. Il se présente dans la gestion protocolaire de la parole et dans l’art oratoire qui élabore l’homélie dans le dialogue et en collaboration avec l’assemblée.

Nous pouvons en déduire que les gestes dans la liturgie congolaise projettent une vision particulière du sacré, tout en étant des canaux de transmission de la mémoire de Jésus. Il y a un temps de tranquillité pour écouter la parole de Dieu, et un temps de joyeuse démonstration pour exprimer l’effet de l’histoire de Jésus sur l’assemblée. Il y a un style et une stratégie dans les gestes. Ils incarnent toute une histoire, toute une mémoire.

 

Conclusion

Au regard des spécialistes, l’inculturation de la liturgie en RD Congo est une expérience réussie:

« Les options prises par l’épiscopat du Zaïre pour aboutir à une célébration eucharistique particulière au peuple de ce pays est un exemple réussi de l’inculturation, où la source d’origine demeure reconnaissable, où la foi de l’Église s’exprime sans ambigüité, mais où la façon d’exprimer cette même foi catholique emprunte le meilleur du génie religieux de l’âme africaine »[15].

D’ailleurs le Pape François vient de le dire de nouveau. Après avoir célébré la messe le 1er décembre 2019 dans la basilique de St Pierre de Rome en missel romain pour les diocèses du zaïre dit ceci: « Le missel romain pour les diocèses du Zaïre, approuvé par la congrégation pour le culte Divin le 30 avril 1988, il est jusqu’à présent, l’unique rite inculturé de l’Église latine approuvé après le Concile Vatican II. Le rite zaïrois du Missel Romain est retenu comme un exemple d’inculturation liturgique. On sent vibrer, dans la célébration ce rite, une culture et une spiritualité animées par des chants religieux au rythme africain, le son des tambours et d’autres instruments musicaux qui constituent un vrai progrès dans l’âme congolaise »[16]. Le rite romain pour les diocèses du Zaïre avec sa gestuelle, ses mots, ses symboles, ses chants engendre une pratique liturgique qui renforce les moyens de l’évangélisation.

 

 

Bibliographie

Antoine SANON, « L’africanisation de la liturgie », LMD 123 (1975) p.100-122.

Conférence Épiscopale du Zaïre:

  • Allocution des évêques des provinces ecclésiastiques de Kinshasa, Mbandaka et Kananga en Visite ad Limina du 18-30 Avril 1988, Kinshasa 1988, 7.
  • Dynamique de la diversité dans l’unité, Kinshasa, secrétariat de la conférence épiscopale du Zaïre 1887, 24-25.

Conférence Épiscopale Nationale du Congo, Actes de la 6ème APEC, Léopoldville 1961, p.363.

Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, « Congus Leopolitanus » Notitiae (1965), p.1-12.

Engelbert MVENG, L’art de l’Afrique noire, liturgie cosmique et langage religieux, (Point Omega : Paris) 1964, p.181.

Elochukwu UZUKWU, « Corps et mémoire dans la liturgie africaine », Concilium 259 (1995), p.105-120.

François KABASELE LUMBALA, Alliance avec le Christ en Afrique, inculturation des rites religieux au Zaïre, (Karthala : Paris) 1994, p.131.

Josef MALULA, « Les instruments de musique africaine dans le culte divin » (4 juin 1967), DC 1487 (1967), p.278- 285.

Missel romain pour les diocèses du Zaïre, secrétariat de la conférence épiscopale du Zaïre, Kinshasa 1989.

Roger MBOSHU KONGO (éd.), Le Pape François et le Missel romain pour les diocèses du Zaïre (R.D. Congo), Cité du Vatican, 2019, p.255.

Tharcisse TSHIBANGU, « Vers une théologie à la couleur noire », RCA 14, (1960) p. 227-333.

 

Sigles et abréviation

APEC:          Assemblée plénière de l’Épiscopat Congolais 1961-1967

CENCO:       Conférence Épiscopale Nationale du Congo

CEZ:             Conférence Épiscopale du Zaïre

MRDZ:         Missel Romain pour les Diocèses du Zaïre

RCA:            Revue de clergé africain, Léopoldville 1950-1978

 

[1] Josef Malula, « Congus Leopolitanus », Notitiae (1965) p. 121.

[2] Cf. Pape Jean Paul II, Discours à l’UNESCO, 2 juin 1980.

[3] Tharcisse Tshibangu, « vers une théologie à la couleur noire », RCA 14, (1960) p. 333.

[4] CEZ, Dynamique de la diversité dans l’unité, Kinshasa, secrétariat de la conférence épiscopale du Zaïre 1987, 24-25.

[5] CEZ, Allocution des évêques des provinces ecclésiastiques de Kinshasa, Mbandaka et Kananga en Visite ad Limina du 18-30 Avril 1988, Kinshasa 1988, 7.

[6] CENCO, Actes de la 6ème APEC, Léopoldville, 1961, 363.

[7] Josef Malula, « Congus Leopolitanus », Notitiae (1965) p. 123.

[8] CENCO, Actes de la 6ème APEC, Léopoldville 1961, 364.

[9] Josef Malula, « Préface à Kabasele Lumbala », dans Alliance avec le Christ en Afrique, inculturation des rites religieux au Zaïre, Paris, p.13.

[10] Cf. 6ème APEC, 365.

[11] « Présentation générale de la liturgie de la messe pour les diocèses du Zaïre », in MRDZ, Kinshasa 1989, secrétariat de la conférence épiscopale du Zaïre, p. 78.

[12] Josef Malula, « Les instruments de musique africaine dans le culte divin (4 juin 1967) », DC 1487 (1967) 285.

[13] Antoine Sanon, « L’africanisation de la liturgie », LMD 123 (1975) 122. Voir aussi Roger Garaudy, Danser sa vie, Paris 1973.

[14] Engelbert Mveng, L’art de l’Afrique noire, liturgie cosmique et langage religieux, Paris 1964, 81.

[15] Elochukwu Uzukwu, « Corps et mémoire dans la liturgie africaine », Concilium 259 (1995) 105-106.

[16] Pape François, Le Pape François cité par Rita Mboshu, Le Missel romain pour les diocèses du Zaïre, cité du Vatican 2019, p.3-4.

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